Liste des blocs

Sous-titre
Projet développement / recherche

Texte

Projets d’établissements :

Le projet EPICURE se décline sur plusieurs organes : sein, poumon et prostate.  Il s’agit d’un projet associant une douzaine d’unités de production de données de type multi « omiques » qui permettra de constituer une base de données de type « holomique » de ces différents cancers métastatiques. Ce projet a pour but d’établir un prédicteur d’évolution de la maladie en fonction des traitements médicaux et éventuellement d’adapter plus finement ceux-ci. Le premier projet EPICURE a porté sur le cancer du sein métastatique et est présenté dans cet article et sur https://projet-epicure.fr.  Le projet EPICURE poumon débutera début 2023.

Sous-titre
Projets recherche propre

Texte

Au niveau de notre structure de recherche, l’Unité d’Oncoprotéomique de l’ICO souhaite devenir le centre de référence français d’étude des tumeurs par des approches protéomiques. Nous souhaitons constituer une base de données d’expression protéique de tissus tumoraux qui serait abritée par un site ICO et consultable par la communauté scientifique, ce qui contribuerait à la lisibilité de nos travaux. Grâce aux données que nous produisons, nous souhaitons caractériser des marqueurs de progression tumorale et d’échappement aux traitements, susceptibles de participer à une meilleure prise en charge des patients.

Sous-titre
Plateforme Prot'ICO

Texte

À propos de la « jeune » plateforme Prot'ICO : Celle-ci s'appuie sur une longue expertise scientifique et technique portée par ses deux coresponsables, et du personnel dédié.

 
L'évolution des appareillages nous permet d'envisager rapidement passer d'un mode « classique » de préparation manuelle de dizaines de microgrammes de protéines encore manipulables à la main, à moins du nanogramme, représenté par une poignée de cellules. Dans cette optique, nous déposons plusieurs demandes de cofinancement pour acquérir le matériel nécessaire à la manipulation de nanovolumes. Cela nous permettra de mettre à portée des équipes de recherche les données d’expressions protéiques extraites par exemple de quelques cellules d'une biopsie à faible cellularité qui auraient auparavant été écartées, ou encore d’une population cellulaire rare porteuse d'un marqueur tagué.

En effet, le TimsTOFpro2 et deux chromatographes de pointe déjà accessibles sur la plateforme rendent ces objectifs atteignables, mais nous devons disposer de la technologie de prélèvement, de comptage, de digestion et de chargement -sans pertes- d'aussi faibles quantités de cellules.

Ce projet d’équipement et de développement méthodologique porterait des fruits qui bénéficieront à la communauté scientifique. Cela mettrait en lumière un dispositif unique dans une structure CRLCC afin de s'affirmer au sein des infrastructures nationales.

Au-delà, à 2 ou 3 ans, avec des protocoles robustes mis en place, nous anticipons que la prochaine génération de spectromètres comblera alors le mince gap nous séparant de l'analyse protéomique de la cellule isolée. Un concept qui prêtait encore à sourire il y a moins de 5 ans, sérieusement envisagé désormais et que nous souhaiterions être parmi les premiers à mettre en œuvre.

 

Retour à la page d'accueil